Evolutions annuelles des niveaux régionaux

Evolution mensuelle des niveaux

Evolution annuelle de l’état des niveaux d’eau souterraine en Bretagne à fin mars

La fin du mois de mars correspond à la fin de la période de recharge  . Il est donc intéressant de regarder le niveau des nappes à la fin de leur période de remplissage.

L’histogramme suivant présente l’évolution annuelle de la ressource en eau souterraine en Bretagne à la fin du mois de mars (niveau des piézomètres par rapport à la moyenne du mois de mars).

Evolution annuelle de l’état des niveaux d’eau souterraine en Bretagne à fin mars

Le niveau des nappes d’eau souterraine en Bretagne à la fin du mois de mars change chaque année en fonction de la période de recharge   hivernale. Alors que l’année 2020 a été marquée par la quasi-totalité des niveaux d’eau au-dessus de la moyenne, les années 2009, 2011, 2012, 2017, 2021 et 2022 présentent quant à elles des niveaux d’eau majoritairement inférieurs la moyenne. Pour les années 2008, 2010, 2013, 2015 et 2019, les stations piézométriques affichaient des niveaux principalement dans la moyenne. Enfin, pour les autres années (2007, 2014, 2016 et 2018), les niveaux d’eau se situaient pour la plupart au-dessus de la moyenne.

Evolution annuelle de l’état des niveaux d’eau souterraine en Bretagne à fin août

La fin du mois d’août est un moment clef du point de vue de la ressource en eau car elle signale souvent la fin de la période sèche (précédée de la période de recharge  ), et donc la fin de la tension sur les étiages des cours d’eau. C’est la fin de l’année hydrologique. Au niveau des eaux souterraines  , la recharge   des nappes se déroule souvent d’octobre à mars, et la vidange d’avril à septembre.

L’histogramme suivant présente l’évolution annuelle de la ressource en eau souterraine en Bretagne à la fin du mois d’août (niveau des piézomètres par rapport à la moyenne du mois d’août).

Evolution annuelle de l’état des niveaux d’eau souterraine en Bretagne à fin août

Du point de vue du niveau des nappes d’eau souterraine en Bretagne, les fins d’années hydrologiques se suivent mais ne se ressemblent pas. Alors qu’en août 2007, toutes les stations piézométriques de la région affichaient un niveau au-dessus de la moyenne, les mois d’août 2006, 2010, 2011, 2016, 2017 et 2022 affichaient des niveaux majoritairement sous la moyenne. Les autres années, les stations piézométriques sont restées pour l’essentiel dans la moyenne du mois d’août, hormis en août 2021 où la moitié des piézomètres avaient un niveau supérieur à la moyenne.

Evolution annuelle des niveaux

Année 2007

En sortie de recharge   hivernale 2006-2007, les niveaux des nappes étaient supérieurs ou égaux à la moyenne saisonnière.

La baisse des niveaux, qui a commencé mi-mars, a été stoppée par des recharges habituellement absentes en étiage (juin-juillet-août). En sortie d’été, les réserves souterraines présentaient un état de remplissage exceptionnel. Ensuite, la vidange a repris son cours début septembre.

Les pluies efficaces n’ont repris que mi-novembre provoquant une remontée tardive des nappes constatée habituellement début octobre et donc des niveaux inférieurs aux moyennes saisonnières pour les deux derniers mois de l’année.

Année 2008

En sortie de recharge   hivernale 2007-2008, normale en pluie mais saccadée, les niveaux des nappes étaient égaux à la moyenne saisonnière.

Les nappes qui connaissent une baisse de niveau à partir de début avril se sont rechargées fin mai et en septembre 2008. Cette situation inhabituelle s’est traduite, sur deux départements (Finistère et Morbihan), par un état de remplissage supérieur à la moyenne en sortie d’été 2008. La vidange a repris son cours mi-septembre.

Les pluies efficaces de recharge   hivernale sont intervenues mi-novembre provoquant une remontée tardive des nappes, elle commence habituellement début octobre. Malgré cela, les niveaux étaient supérieurs ou égaux à la moyenne saisonnière pour les deux derniers mois de l’année.

Année 2009

En sortie de recharge   hivernale 2008-2009, proche de la normale en pluie mais saccadée (au rythme des excédents et déficits de pluie), les niveaux des nappes étaient égaux ou inférieurs à la moyenne saisonnière.

Les nappes qui connaissaient une baisse de niveau à partir de mi-mars se sont rechargées localement et momentanément en avril, mai et juin 2009. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage peu éloigné de la moyenne en sortie d’été 2009. La vidange s’est poursuivie suite à des mois de septembre-octobre déficitaires en pluie.

Les pluies efficaces de recharge   hivernale sont intervenues fin octobre provoquant une remontée rapide des nappes (novembre a été très pluvieux). En fin d’année 2009, les niveaux étaient soit proches de la moyenne saisonnière, soit supérieurs à cette moyenne notamment dans la moitié Ouest de la Bretagne.

Année 2010

En sortie de recharge   hivernale 2009-2010, au-dessus la normale en pluie, les niveaux des nappes étaient conformes à la moyenne saisonnière et parfois supérieurs (les pluies efficaces ont été irrégulières mais suffisantes).

Les nappes, qui connaissaient une baisse de niveau à partir de début avril, ne se sont quasiment pas rechargées en mai, juin, juillet et août 2010. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage souvent inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2010. La vidange s’est poursuivie suite à un mois de septembre déficitaire en pluie.

Les pluies efficaces de recharge   hivernale sont intervenues début octobre provoquant une remontée rapide des nappes (octobre et novembre ont été très pluvieux). A fin novembre 2010, les niveaux étaient majoritairement supérieurs à la moyenne saisonnière (notammment dans le Morbihan et le Finistère), mais également proches de cette moyenne (Ille-et-Vilaine et Côtes d’Armor).

Année 2011

En sortie de recharge   hivernale 2010-2011 (octobre 2010 – mars 2011), proche de la « normale » en pluie, les niveaux des nappes étaient conformes à la moyenne saisonnière et parfois inférieurs (les pluies efficaces ont été irrégulières et parfois insuffisantes).

Les nappes, qui connaissaient une baisse de niveau à partir de début mars, ne se sont quasiment pas rechargées en mai, juin, juillet et août 2011. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage assez inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2011. La vidange s’est poursuivie suite aux mois de septembre, octobre et novembre déficitaires en pluie.

Les pluies efficaces de recharge   hivernale sont intervenues tardivement fin novembre provoquant une remontée des nappes (décembre a été très pluvieux). A fin novembre 2011, les niveaux étaient encore très inférieurs à la moyenne saisonnière sur toute la région Bretagne.

Année 2012

La recharge   hivernale 2011-2012 (octobre 2011 – avril 2012) s’est caractérisée par une pluviométrie un peu en-dessous de la « normale », entrainant des interruptions momentannées de la recharge   des nappes entre janvier et mars. En sortie de recharge   et grâce aux pluies excédentaires d’avril, les niveaux des nappes étaient majoritairement proches des moyennes saisonnières.

Les nappes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de mi-mai, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à août 2012, malgré quelques interruptions locales et momentanées mi-juin, mi-juillet et mi-août. La vidange s’est poursuivie jusqu’à fin septembre.

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues dès début octobre, provoquant une remontée des nappes (les mois de septembre à décembre 2012 ont été très pluvieux). A fin novembre 2012, les niveaux des nappes étaient conformes à la moyenne saisonnière sur toute la région Bretagne, voire localement supérieurs à la moyenne.

Année 2013

La recharge   hivernale 2012-2013 (octobre 2012 - avril 2013) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale proche de la « normale » voire excédentaire. En sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient supérieurs ou proches de la moyenne saisonnière.

Les nappes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de mi-avril, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à fin août 2013, malgré quelques interruptions locales et momentanées en juin, juillet et août. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement proche ou inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2013.

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues mi-octobre, provoquant une stabilisation des niveaux puis une remontée des nappes depuis mi-novembre (les mois d’octobre et novembre 2013 ont été très pluvieux). A fin novembre 2013, les niveaux des nappes étaient majoritairement supérieurs ou proches des moyennes saisonnières.

Année 2014

La recharge   hivernale 2013-2014 (octobre 2013 - mars 2014) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale proche de la « normale » voire excédentaire. En sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient supérieurs ou proches de la moyenne saisonnière.

Les nappes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de début mars, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à fin septembre 2014, malgré quelques interruptions locales et momentanées en mai et août. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement supérieur ou proche des moyennes saisonnières en sortie d’été 2014, grâce à une pluviométrie excédentaire durant l’année hydrologique (de septembre 2013 à août 2014).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues mi-octobre, provoquant une stabilisation des niveaux puis une remontée des nappes depuis début novembre (la pluviométrie a été excédentaire en novembre). A fin novembre 2014, les niveaux des nappes étaient majoritairement supérieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2015

La recharge   hivernale 2014-2015 (octobre 2014 - mars 2015) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale proche de la « normale ». En sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient proches de la moyenne saisonnière.

Les nappes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de début mars, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à fin mi-novembre 2015, malgré quelques interruptions locales et momentanées en mai, août et septembre. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement proche ou supérieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2015 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2015), grâce à une pluviométrie proche de la normale durant l’année hydrologique (de septembre 2014 à août 2015).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale ne sont intervenues que mi-novembre, provoquant une remontée tardive des nappes (la pluviométrie a été fortement déficitaire en septembre et octobre). A fin novembre 2015, les niveaux des nappes étaient majoritairement inférieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2016

La recharge   hivernale 2015-2016 (novembre 2015 - avril 2016) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale proche de la « normale ». En sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient supérieurs à la moyenne saisonnière.

Les nappes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de début avril, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à mi-novembre 2016, malgré quelques interruptions locales et momentanées en juin et en août. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2016 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2016), suite à une pluviométrie proche de la normale sur l’année hydrologique (de septembre 2015 à août 2016) mais fortement déficitaire en septembre.

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale ne sont intervenues que mi-novembre 2016, de manière peu intense, et n’ont pas été généralisées à l’échelle de la région. Ceci a provoqué une remontée tardive des nappes et une faible recharge   fin 2016. A fin décembre 2016, les niveaux des nappes étaient majoritairement très inférieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2017

La recharge   hivernale 2016-2017 (novembre 2016 - mars 2017) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale inférieure à la « normale », n’ayant pas permis une recharge   suffisante. Ainsi, en sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient inférieurs à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de mi-mars, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à mi-novembre 2017, malgré quelques interruptions locales et momentanées en mai, juin, juillet et août. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2017 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2017), suite à une pluviométrie déficitaire sur l’année hydrologique (de septembre 2016 à août 2017) et malgré des pluies excédentaires en septembre.

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues tardivement, à partir de fin novembre 2017. A fin novembre 2017, les niveaux des nappes restaient majoritairement inférieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2018

La recharge   hivernale 2017-2018 (novembre 2017 - mars 2018) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globalement conforme à la « normale ». Ainsi, en sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient supérieurs à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de début avril, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à novembre 2018, malgré quelques interruptions locales et momentanées en juin, juillet, août et octobre. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement conforme aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2018 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2018), suite à une pluviométrie conforme aux normales sur l’année hydrologique (de septembre 2017 à août 2018).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues tardivement à partir de début novembre 2018. A fin novembre 2018, les niveaux des nappes étaient majoritairement inférieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2019

La recharge   hivernale 2018-2019 (novembre 2018 - mars 2019) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale légèrement inférieure à la « normale ». Ainsi, en sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient majoritairement conformes à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de mi-mars, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à mi-octobre 2019, malgré quelques interruptions locales et momentanées en juin, août et septembre. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement inférieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2019 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2019), suite à une pluviométrie déficitaire sur l’année hydrologique (de septembre 2018 à août 2019).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues en grande quantité à partir mi-octobre 2019. A fin novembre 2019, les niveaux des nappes étaient tous supérieurs voire très supérieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2020

La recharge   hivernale 2019-2020 (de mi-octobre 2019 à mi-mars 2020) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale supérieure à la « normale ». Ainsi, en sortie de recharge  , les niveaux des nappes étaient majoritairement supérieurs à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de mi-mars, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à début octobre 2020, malgré quelques interruptions locales et momentanées en juin, août et septembre. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement supérieur ou conforme aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2020 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2020), suite à une pluviométrie excédentaire sur l’année hydrologique (de septembre 2019 à août 2020).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues en grande quantité à partir début octobre 2020. A fin novembre 2020, les niveaux des nappes étaient majoritairement supérieurs aux moyennes saisonnières.

Année 2021

La recharge   hivernale 2020-2021 (de début octobre 2020 à février 2021) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globale autour de la « normale » (voire excédentaires dans le Finistère et les Côtes d’Armor). Cependant la vidange des nappes a commencé de manière précoce au mois de février 2021 : ainsi à fin mars 2021, les niveaux des nappes étaient inférieurs ou conformes à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de février, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à début octobre 2021, sauf lors d’interruptions locales et momentanées en juin et juillet qui ont par endroits entrainé des recharges non négligeables. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement supérieur aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2021 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2021), suite à une pluviométrie proche de la normale sur l’année hydrologique (de septembre 2020 à août 2021).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues en grande quantité à partir de début octobre 2021. A fin novembre 2021, les niveaux des nappes étaient majoritairement conformes aux moyennes saisonnières.

Année 2022

La recharge   hivernale 2021-2022 (de début octobre 2021 à février 2022) s’est produite au rythme des excédents et déficits de pluie, avec une pluviométrie globalement déficitaire entre novembre 2021 et mars 2022. La vidange des nappes a commencé de manière précoce au mois de février 2022 : ainsi à fin mars 2022, les niveaux des nappes étaient surtout modérément bas par rapport à la moyenne saisonnière.

Les nappes bretonnes, qui ont connu une baisse de niveau à partir de février, ne se sont quasiment pas rechargées jusqu’à mi-octobre 2022, sauf lors de légères interruptions estivales. Cette situation s’est traduite par un état de remplissage des nappes principalement bas ou très bas par rapport aux moyennes saisonnières en sortie d’été 2022 (cf. carte d’état des niveaux d’eaux souterraines   de la Bretagne à fin septembre 2022), suite à une pluviométrie inférieure à la normale sur l’année hydrologique (de septembre 2021 à août 2022).

Les pluies efficaces de la recharge   hivernale sont intervenues à partir de mi-octobre 2022, provoquant d’abord une stabilisation des niveaux puis une hausse courant novembre. A fin novembre 2022, les niveaux des nappes étaient contrastés à l’échelle régionale : majoritairement conformes aux moyennes des mois de novembre à l’ouest de la région, les niveaux des nappes étaient modérément bas à bas sur la partie est.

Consultez l’évolution des niveaux des nappes bretonnes sur le tableau de bord interactif « Variation du niveau des nappes d’eau souterraine de Bretagne » élaboré par l’Observatoire de l’Environnement en Bretagne.

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