Les eaux souterraines bretonnes en bref

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L’eau souterraine est alimentée par la pluie qui tombe au sol : après infiltration   de celle-ci sous nos pieds, elle circule dans les pores et les fissures des roches, on parle alors d’aquifère ou de nappe phréatique  . Cette circulation est plus ou moins lente suivant la nature de la roche.

En Bretagne, on trouve essentiellement des aquifères dits « de socle » dans des roches dures anciennes (granite, schistes, …). Les eaux souterraines   et les eaux de surface sont en contact permanent : en effet, les nappes participent à l’alimentation des rivières.

L’eau souterraine est captée par l’homme au niveau de forages, de puits ou de sources ; elle est utilisée pour divers usages. Les forages doivent être déclarés puis réalisés dans les règles de l’art afin de garantir la pérennité et la qualité de la ressource en eau.

Les eaux souterraines   sont surveillées par différents organismes, contrôlant notamment leur quantité (niveaux/profondeurs des nappes) et leur qualité.

Le niveau des nappes varie au cours de l’année, entre des niveaux hauts l’hiver et des niveaux bas l’été. Le suivi de ces variations permet de publier régulièrement des bulletins de suivi du niveau des nappes.

En Bretagne, l’alimentation en eau potable est assurée à 25% par les eaux souterraines  , les 75% restants étant issus des eaux superficielles (cours d’eau et barrages). La protection des captages d’eau potable est essentielle pour prévenir d’éventuels risques de pollution.

Bloc diagramme des eaux souterraines bretonnes (© BRGM)

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